Sur l’île solitaires d’Ankhyra, baignée par la clarté doré du crépuscule, la prêtresse Callista s’agenouillait au démarcation de la falaise, recherchant l’horizon césarien. Chaque nuit, elle attendait le chant des voix venues des au plus bas, ce murmure marin que seule elle pouvait préférer. Ces mélodies contradictoires, tissées dans le https://leonardop900lid2.laowaiblog.com/32852891/la-indice-des-marées