À prosodie que les marées se succédaient, le rythme du rocher changeait imperceptiblement. Ce qui n’était au début qu’un battement assidu devenait un nombre de pulsations asymétriques, par exemple si le rocher répondait à une portée intérieure plus qu’aux déplacements de l’océan. Le musicien enregistrait chaque session avec une minutie https://judahvoeui.blogs100.com/34690717/le-rythme-déplacé