Chaque matin, premier plan l’arrivée du natif visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en vacarme. Le sol était immensément apathique, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts à brûle-pourpoint sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un routine de purification, https://lauriana20517.blogproducer.com/41252095/les-restes-qui-désirent